Un jour que je me rendais dans une citée "difficile" j'ai été victime du vol de ma voiture, mais quelle ne fut pas ma surprise le lendemain quand sur le chemin du commissariat où j'allais porter plainte de recevoir un appel me proposant après des excuses de me rendre mon véhicule "emprunté" suite à une erreur.
Mon travail m'emmenant à me rendre souvent dans ces banlieux j'étais satisfaite de ne pas avoir à porter plainte et de récuperer mon bien aussi rapidement aussi j'acceptais le rendez vous proposé.
Je devais me rendre dans un hall d'immeuble et demander à parler à Abdel.
Arrivée sur place se truvait un groupe de 5 ou 6 jeunes et l'un d'eux qui avait l'air de me connaitre me dit qu'Abdel était à la salle d'activité et se proposa de m'y conduire.
C'était un appartement en RdC que les habitants squattaient et utilisaient comme lieu de convivialité. Abdel était dans la pièce du fonds avec des amis.
C'était le caïd de la cité d'une vingtaine d'année, au chomage mais toujours bien habillé contrairement aux autres.
Il commença par s'excuser du désagrément mais se dit heureux de pouvoir discuter avec moi pour me proposer son aide. lui faisant part de mon incompréhension il précisa que si mon travail m'obligeait a venir fréquemment, je ne devais pas oublier que c'est grace à lui que jusqu'ici je n'avais jamais été "embêtée" mais que je devais "renvoyer l'ascenceur".
Je lui répondis que je n'avais aucune intention d'accepter son rackett même si j'avais besoin de ce travail.
Il éclata de rire et affirma qu'il ne voulait pas me racketter mais au contraire m'aider.
Devant mon incompréhension il me dit que belle comme j'étais je n'avais rien à craindre de lui qui avait fait passer la consigne dans la citée afin que personne ne vienne m'agresser comme cela se produisait régulièrement.
je comprenais enfin pourquoi j'avais pu jusqu'a présent faire mes enquêtes sociales depuis plusieurs mois alors que mes collègues avaient démissionné au bout de quelques jours seulement suite à des agressions.
Il me proposa de récupérer mon sac et ma voiture maintenant mais qu'il fallait que j'enlève d'abord mes vêtements car il voulait me voir nue.
Devant mon refus il pris un air sévère et me précisa que j'avais à choisir.
Soit je me déshabillais maintenant et je récupérais ma voiture, soit je refusais et alors il partirait avec ma voiture en laissant seule avec sa bande à qui il avait toujours interdit de me violer.
La mort dans l'âme je comprenais que je n'avais pas le choix et commença à me déshabiller faisant semblant de ne pas entendre les commentaires des uns et des autres.
Une fois nue il me tendit mon sac et me demanda comment j'allais.
Mal, lui répondis-je.
C'est pas grave me dit-il, tu es canon et tu devrais être fière de ton cul. Aimes tu sucer ?
La situation devenait surréaliste ! j'étais nue devant des voyoux et on me demandait si j'aimais sucer ! j'étais terrifiée mais je commençais à sentir une chaleur incontrolée m'envahir et mes tétons devenir durs.
Ce détail ne lui échappa pas et souriant il dit à sa bande que j'étais une belle salope qui jouissait de la situation.
Se tournant vers moi et me regardant dans les yeux il me demandant si je préférais être violée maintenant ou si je préférais faire la putain pour lui en doublant mon salaire.
Cela me paralysa bien que je sentis alors ma chatte devenir toute humide et je m'entendis lui répondre sans comprendre pourquoi:
Je préfère devenir ta putain.